jeudi 3 juillet 2014
Quicktest Ciné!
- Cloud Atlas (2013) de Tom Tykwer, Lana et Andy Wachowski, avec Tom Hanks et Halle Berry:
Plus qu'un film chorale, un véritable puzzle, mélangeant plusieurs genres cinématographiques, plusieurs époques. Il est impressionnant de voir que les Wachowski maîtrisent tous les cinémas qui'il nous propose. Ceci étant dit, 3 heures, c'est long. Le film nous dit: "L'océan n'est-il pas une multitude de gouttes?". C'est ici difficilement que la somme des instants fait le récit, et l'on reste un peu frustré par l'ensemble. On aimera quand même sur le moment se perdre dans ses méandres.
12/20
- Oblivion (2013) de Joseph Kosinski, avec Tom Cruise et Olga Kurylenko:
Ambitieux et réussi dans la forme, "Oblivion" tient également la route dans son histoire. Malheureusement, le film se plante dans l'un de ses thèmes principaux: le rapport à l'humanité. Olga Kurylenko est à la ramasse (ce n'est pas la première fois), on ne croit pas une seule seconde à l'histoire d'amour et pour le reste, c'est limite. On ne rentre jamais totalement dans ce conte SF, pourtant non dénué de qualités. Le film se laisse regarder quand même. Dommage...
11/20
- Edward Aux Mains d'Argent (1991) de Tim Burton, avec Johnny Depp et Winona Ryder:
Si l'on demande à un fan de Tim Burton de nous donner le nom du film qui représente le mieux son univers, ce serait sûrement celui-ci. plus qu'un classique, Edward est devenu au fil des années un conte intemporel que l'on regarde de temps de temps. Magique, tragique et d'une beauté désarmante. Une merveille, qui date déjà de 1991, et que l'on transmettra maintenant à la génération suivante.
18/20
- Entretien Avec un Vampire (1994) de Neil Jordan, avec Tom Cruise et Brad Pitt:
A chaque époque sa vision du monde des vampires. Deux ans après le "Dracula" de Coppola, Neil Jordan enfonce le clou du mythe des années 90, celui du suceur de sang mystérieux et sensuel. En moins romanesque, puisque l'entrevue nous raconte l'envers du décor, et ce que "ressent" un vampire après des siècles d'existence. Pas de désacralisation pour autant, ce point de vue oscille entre la fresque historique et le drame glauque horrifique. La réalisation n'a rien d'exceptionnel, pour le reste, c'est du tout bon.
15/20
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